Archives de l’auteur : Mamia Bretesche Art Curating

What Water Feels _ Brooke C.White

Brooke C.White

Au cours de la dernière décennie, alors que les événements météorologiques extrêmes sont devenus trop fréquents à l’échelle mondiale, Brooke C.White a arpenté et travaillé le long des rives du fleuve Mississippi, de ses affluents, de la côte du Golfe, des Caraïbes et du golfe du Maine pour documenter l’évolution des niveaux d’eau dans ces régions.
À la suite de ces observations, un projet photographique intitulé What Water Feels s’est formé ; elle y explore la sublime nature des événements météorologiques extrêmes tout en examinant les effets de l’élévation des eaux sur les communautés vulnérables à travers le sud profond des États-Unis, des Caraïbes et des Maritimes.
L’intersection du lieu, la mémoire et le temps, domine ses démarches artistiques
Son travail explore le paysage en tant qu’espace privé et public, reflétant à la fois les forces internes et externes qui ont un impact sur notre identité et notre connexion au lieu.
Le projet comprend des cyanotypes de durée expérimentale et des photographies documentaires qui portent en elles les concepts entourant une expérience vécue de lieu par rapport à une expérience incarnée. La représentation directe et documentée des eaux montantes mise en contraste avec les cyanotypes expérimentaux et abstraits, offre deux expériences différentes dans le paysage/lieu. L’un est un enregistrement de l’événement, de ce qui advient, de l’inondation et l’autre est une représentation formelle de l’immersion dans les eaux de crue. Chaque cyanotype possède en lui la durée de l’inondation réelle, il sert le souvenir et permet l’enregistrement de cette expérience physique. Le projet se compose actuellement d’impressions numériques grand format, de cyanotypes uniques, de livres d’artistes et de vidéos.

The intersection of place, memory, and time dominates my artistic investigations. I employ a range of photographic approaches ranging from experimental, documentary, portraiture, and video, to investigate topics surrounding, family and loss, identity and nature, and motherhood. My work explores the landscape as both a private and public space, reflecting both the internal and external forces that impact our identity and connection to place. Over the past decade, as extreme weather events have become all too frequent on a global scale, I have been working along the banks of the Mississippi River, its tributaries, the Gulf Coast, Caribbean, and the Gulf of Maine to document the changing water levels within these regions. In the fall of 2022, the lack of water brought me to the edge of the Mississippi River in Rosedale, MS to photograph the extreme draught that halted most of the travel up and down the river thereby delaying the transport of goods. In the summer of 2022, I was in Maine and the Maritimes photographing the impact that increased water levels are having on coastal communities. In 2021, I traveled to south Mississippi to document the development of critical wetlands that protect the people and places of Forest Heights and Turkey Creek, MS. Both communities live along the edge of the Turkey Creek, one of the nation’s Ten Most Endangered Rivers of 2021. Along the Gulf Coast of Louisiana after the BP oil spill and Hurricane Katrina, I found myself photographing the traces left behind in the landscape that reveal the vulnerability of communities on, in, and above the water.

As a result of these observations a photographic project titled What Water Feels has evolved and it explores the sublime nature of extreme weather events by examining the effects that rising waters are having on vulnerable communities throughout the deep southern United States, Caribbean, and the Maritimes. Included in the project are experimental durational cyanotypes and documentary photographs that explore ideas surrounding a lived experience of place versus an embodied one. The direct, documentary representation of rising waters contrasted alongside abstract experimental cyanotypes provides two different experiences of place. One is a record of the flood event and the other is a physical representation of being in flood waters. Each durational cyanotype is made during an actual flood event and serves as a memory and record of that physical experience. The project currently consists of large format digital prints, unique durational cyanotypes, artists books, and videos.

Biography: Brooke C. White was born in 1975, she lives and works in Oxford, MS where she is a practicing artist and educator. She is associate Chair, Professor of Art & Southern Studies, Division Head of Imaging Arts & Print Media, Department of Art & Art History, University of Mississippi. As an artist, Brooke White embraces, a cross-disciplinary approach to image making that combines traditional analog techniques alongside digital strategies. For the past twenty years she has made work about the landscape, nature and our response to place. The conceptual framework of her projects is consistently driven by the politics of place, memory and time, and the role they play in establishing identity.
Exhibitions: The Hammer Museum, the Mississippi Museum, the Ogden Museum of Southern Art. She has been a Senior Fulbright Scholar in India and is the recipient of multiple Mississippi Arts Council Individual Artist Grants. Her work has been published in Aint Bad Magazine and the Oxford American. 
Her artworks are collected by: Zines of the Zone, Brest, France. Do Good Fund Collection, Columbus, GA. Transart Institute Berlin and New York. Courtnay Haden, SFMoMA. Casoria Contemporary Art Museum, Naples, Italy. Plugged International Video Art, Dinner Ware Contemporary Gallery, Tucson, AZ. CSU Chico Electronic Arts Library, Chico, CA. Wro Center for Media Art-Wroclaw, Poland. International Ate, Phatspace Gallery, Sydney, Australia. Alfred University-Permanent Collection, Alumni Hall. Mamia Bretesche Collection, Paris, France. 

Sardis_flood _Telephone. Brooke C.White . All rights reserved

SADEK RAHIM

Fragments d’objets habités – Dessins 
Du point à la ligne #6
Exposition personnelle du 19 avril au 20 mai 2024
Vernissage le 20 avril de 18 h à 20h
13 Rue Molière ARLES 

C’est par le dessin que l’artiste Sadek Rahim aborde des sujets qui lui tiennent à cœur, la mémoire, la transmission et l’objet d’un territoire à l’autre,déplacé, disloqué. 
 Parti de cette phrase de Josef Koudelka « Les ruines ce n’est pas le passé, c’est l’avenir. Tout, autour de nous, un jour, sera en ruine », l’artiste, exhume lors de ses pérégrinations des fragments d’objets qu’il dessine, qu’il photographie, pour leur donner une seconde vie

COMMUNIQUE DE PRESSE

Une histoire de déplacements, de flux migratoire, de guerre et de paix. Cartes routières anciennes, photographies personnelles ayant appartenu à un tout qui n’existe plus ou qui en est désormais séparé, véritables « tessons » d’un autre âge, reflet d’un passé lointain, fantômes de vies passées. 
Sadek Rahim convoque le souvenir, la mémoire, le mythe d’une période révolue. Sa pratique artistique, en elle-même, est une forme d’errance dans les objets et artéfacts d’un autre temps, il les dessine, leur donnant une seconde vie, paradoxe des œuvres dites de « nature morte » et réactive ainsi cet élément de l’histoire de l’art. Ces « Still life » préférable à l’expression française, évoquent plutôt la durée et la vie, la vie tenace des souvenirs. L’artiste rassemble et fabrique des fragments mémoriels : photographies et dessins de débris mécaniques obsolètes, des statuettes, des bibelots glanés, autant de traces pour exhumer un passé enfoui.   
Mamia Bretesché

EXTIMITÉ _ Exposition de groupe _ Group Show

ARLES

Copyrights: Bruno Hadjih_TERRA-INCOGNITA- Courtesy MamiaB_Gallery

Par opposition à l’intime, il est question ici et maintenant des pratiques actuelles d’exposition de « soi » et de ce qui relève de l’intime, de ce désir de reconnaissance inavouable peut-être, ou s’agirait-il du reflet de soi dans l’autre, le « reflet du reflet du reflet ».
À l’heure de la profusion des réseaux sociaux, des selfies, notre intimité est exposée sans filtres. Notre rapport aux autres est ainsi mis à nu et prouve à quel point notre désir de se rapprocher des autres est devenu un sentiment paradoxal d’appartenance, d’identité qui dépendrait aussi du monde extérieur. La sphère de l’intime devenant de plus en plus ténue et d’après Lacan, « l’extimité, par opposition à l’intimité, est, tel qu’il a été défini par le psychiatre Serge Tisseron, le désir de rendre visibles certains aspects de soi jusque-là considérés comme relevant de l’intimité ».

En partenariat avec ARLES CONTEMPORAIN

COLLECTION HIVER 2023 EVENEMENT LE15/16/17 décembre.

AVEC LES ARTISTES : Yun Aïyoung _ Abdo Shanan _ Bruno Hadjih_ Luis Moragon _ Mounir GOURI
et des oeuvres de Massinissa Selmani _ Dalila Dalleas Bouzar

Du 14 décembre 2023 au 31 janvier 2024

Vernissage le samedi 16 décembre de 18h à 20h

Ouverture/ Opening Hours
Sur Rendez-Vous : du mercredi au samedi de 11h à 19h
By appointment : Wednesday to Saturday >11 am to 7pm

13, Rue Molière 13200 Arles _ Tel. 066087021

Copyrights: Yun AÏYOUNG, Unknown Space. Courtesy Mamia Bretesché Gallery

Luis Moragon – Urbanizaci

Luis Moragon 
Urbanizaci_Triptyques  
Autour de la ville du «Dedans» et du «Dehors»Triptyque 15 Triptyque 16 Triptyque 22 Triptyque 23
Luis Moragon _ Urbanizaci /Triptyques 
Une exposition d’œuvres en triptyques autour 
de la ville du «Dedans» et du «Dehors»
Nous entrons dans les oeuvres de Moragon 
par les fenêtres, sortes de « Pop up » 
donnant à voir des intérieurs ordinaires,
insolites parfois. 
Il peint sur support en bois l’architecture 
du « Dedans » et du « Dehors » et organise 
l’espace en verticales et horizontales, 
ce qui donne tout son sens au travail et 
la démarche artistique de Luis Moragon, 
depuis cette historique exposition 
«Geometrica» à Valence, en Espagne, 
en 1999.Au-delà, s’impose l’idée de 
«fondu/enchainé» entre les images/fenêtres, 
trois images différentes 
vont se juxtaposer pour former une seule, 
sorte de phrasé musical. Cette série a 
été conçue dans cet esprit.
Au delà de la forme, ce qui interpelle 
dans les oeuvres de Moragon, c’est le 
fond dévoilé, c’est la captation de ce 
qui est insaisissable, ce qui est dérobé 
au regard, tous ces destins, ces saynètes 
qui se jouent dans le «Dedans». 
L’urbain est un sujet chez l’artiste, 
c’est l’espace qui enferme, aliène ou 
libère, Luis Moragon le peint et le dépeint 
par un langage pictural d’ombre et de lumière, 
le propre de l’homme. 
Le terme « Urbanizaci » littéralement «Urbanisation» 
a été employé pour la première fois par l’ingénieur 
Barcelonais, Ildefons Cerdà dans 
la (Teoria general de la urbanizaci) en 1867.
Chacun de nous dispose d’un trousseau de clefs 
avec lesquelles il entreprend de comprendre 
le monde qui l’entoure, sonder les cœurs 
et percer les âmes. 
Luis Moragon a ajouté des clefs bien spécifiques 
à son  propre trousseau.
Il est fasciné par la vie dans nos métropoles 
modernes et particulièrement par le motif des 
fenêtres de nos grands immeubles, répétées 
à l’infini, verticalement et horizontalement. 
Que se passe-t-il derrière ces rectangles 
tantôt illuminés, tantôt sombres, voilés ou au 
contraire ouverts sur l’extérieur, multicolores 
ou en camaïeu de gris ? Il nous met face à cette 
interrogation, qui est peut être la seule qui 
compte : qui sont mes voisins, qui est mon 
prochain?Luis peint, photographie, travaille 
la photo: toujours la question de cet au-delà. 
La fenêtre est ainsi la clef qui nous donne 
accès à l’existence urbaine.
Mais Luis n’en reste pas là. Il interroge 
aussi la fenêtre elle-même prise individuellement, 
surtout renversée dans sa fonction. Alors que 
dans nos appartements, la fenêtre nous ouvre 
sur la rue, sur le boulevard, sur le ciel et 
ses nuages, sur les arbres tantôt couverts de 
feuilles, tantôt glabres, tantôt source du 
piaillement d’une multitude d’oiseaux, pour 
Luis Moragon, la fenêtre est un instrument 
d’exploration, de découverte. Aller à la 
rencontre de l’autre dans son en soi, 
la fenêtre, renversée dans sa fonction, 
qui nous fait rentrer au lieu de sortir. 
Elle nous donne accès à l’humanité dans sa 
substance. Je vais à la rencontre de l’autre. 
La fenêtre est donc aussi la clef qui nous 
fait rentrer, respectueusement, dans l’intimité 
de notre prochain. 
MB - JlB 
Vous avez dit Triptyques ? 
Et La troisième clef ? A vous de la trouver ! 

Invitation
Nous avons le plaisir de vous inviter à 
découvrir les œuvres récentes de
Luis Moragon _ Triptyques
Nous présentons un choix d’œuvres extraites d’un ensemble 
de 24 compositions de la période mature de Luis.
Pour cette première exposition de Luis Moragon 
en terre provençale, nous serons présents:
du 19 Avril au 06 Mai.
Visites sur rendez vous.
De 11h à 19 h, du mardi au samedi. Tel.0660870621
Marseille 7, Rue Fort Notre Dame, Vieux Port, Quai Rive Neuve   
Mamia Bretesche Gallery 
des Artistes et des villes Cities & Artists
galeriemamiabretesche@gmail.com

Open/Close Digitalbased Art & Photographs

Featured artist: Bruno Hadjih: Série Nous n'irons pas nous promener!
Le titre n'a rien d'anodin, il s'agit là de lire une autre réalité, au delà de la beauté
de l'image et du paysage, une autre réalité se cache:
l'empreinte invisible des radiations suite aux essais nucléaires
par la France coloniale dans le désert algérien!

TERRA INCOGNITA 22Bruno Hadjih, Terra Incognita, 2015/2019, Photographies,
film analogique, tirage numérique sur papier baryté, 80X80cm,
Édition (1/5 OU 1/3 selon format)
Be-Digital > Du 7 JUILLET au 20 AOUT 2021 
Venue/ Adresse: 10 rue Fort notre Dame Marseille 13007 
Avec les artistes : Brooke White, Luc Lamborn, Surekha Kumar, Tajiouti Abdelkrim
VA-Luke lamborn courtesy mamia bretesche1VIDEO / LUKE LAMBORN TOUS DROITS RESERVES. COURTESY THE GALLERY & Luke Lamborn
Luis Moragon, Luçe in casa, 2008, Huile sur toile de la série "habitar"Cabo 10surekha galerie mamia bretesche making home4Visuel: Surekha Kumar 2005: Video 8mn " Making Home" All rights reserved,
Property of the artist. Video Stills available at the gallery. 
Photographies disponiblesà la galerie. Contact us! Contactez nous! 
ACHAT / VENTE / CONSEIL : Tel. +33660870621 | galeriemamiabretesche@gmail.com
WALLS  IN & OUT !Un Concept  d'Architecture & d'Art:  
Le  1% artistique dans les constructions publiques de l'état 
et des collectivités territoriales; c'est aussi intégrer une oeuvre d'art 
dans des projets architecturaux. Contact: galeriemamiabretesche@gmail.com 
Tel: +33(0)660870621

 

Frontières de l’être

Exposition Du 14 au 28 FEVRIER 2017 _ VERNISSAGE le 14 FEVRIER à 19h
Frontières de l’être!
Les images, toujours, oscillent entre confirmation de
l’existence des choses et des êtres et tentation de leur
effacement. Trop rarement, les photographes nous donnent
à voir les formes que prend la frontière de l’être à l’instant
infini de la durée pure.
Ici, choses, corps, formes, sont saisis au seuil de leur
métamorphose. Ici s’étirent des instants où notre croyance
en la durée s’enroule sur elle-même. Un voyage commence,
celui qu’effectue notre psyché tendue entre souvenirs à
inventer et visions à ratifier.
Martial verdier déplie l’histoire, notre histoire, en
décadrant le temps. Jean-Guy Lathuilière extrait du temps,
la forme d’un rêve de quotidien exotique. Olivier Perrot
descend au cœur de la matière en fusion et en raconte les
explosions intimes.
La galerie Mamia Bretesché ouvre ses portes à cette
interrogation vitale sur la frontièrede l’être.

Sans titre2©Photo Jean-Guy LathuilièreSans titre3©Photo Olivier Perrot  


BEAUCOUP de FILLES et quelques garçons!

Exposition collective du 12 AU 31 JANVIER 2017
VERNISSAGE: LE 12 JANVIER à 19h
Proposée par MAMIA BRETESCHE GALLERY & TK21 LA REVUE
COMMISSARIAT DE jEAN lOUIS POITEVIN, MARTIAL VERDIER ET MAMIA BRETESCHE
ciro-vitale_56Oeuvre de Ciro Vitale avec:Virginie Rochetti Magnus Petersson Philippe 
Fabian Paolo Patti & Ciro Vitale Joëlle Bondil Chong Jae-Kyoo Thomas Zoritchak 
Yun Aiyoung Diane Mazloum Femlink-ART Sandra Lorenzi Stéphanie Raimondi 
Sophie Patry Martine Heyner Catois Alys Demeure Elodie Fradet

La lumière du noir _ LUIS MORAGON

K24028B005619luis 2
OPENING/VERNISSAGE: Friday 2 december at 6pm /Vendredi 2 décembre de 18h à 21h! 
EXPOSITION: 02 Au 20 Decembre 2016 ! EXHIBITION: from 02 until 20 december 2016
Après les trois expositions précédentes à la Galerie Mamia Bretesché, 
« Habiter », « D e s - c i u d a d e s » e t « Fenêtres : mode d’emploi », 
qui entretenaient toutes trois des liens évidents avec le panorama de la ville, 
Luis Moragon présente une quatrième exposition intitulée « La lumière du noir ».
voyageurs-08De la série "voyageurs": Luis Moragon, tous drots réservés.
T51578 LUISHabitar, Photographie, tirage ink-jet, 2009  Habitar, Oil on canvas, 
huile sur toile! 2012.Lucesencasa8luismoragonFenêtres mode d'emploi, Huile sur toile, oil on canvas. 2009

ARMS & THE MEN #2

L'ARTISTE EST UN CAPTEUR DE SIGNE! n-bennacermbgNacer Bennacer_ Sans titre _ 2016 _ 260x20x7cm 
l1030688Copyrights: Tajiouti Abdelkrim
"Mémorial post colonial" Video/Installation 

Artists group Show >10 >24 november 2016: 
Nacer Bennacer, Dalila Dalléas Bouzar, Sofia Hihat, 
Fatima Mazmouz, Sadek Rahim,
Tajiouti Abdelkrim, Mounir Gouri, Mohamed Rachdi.

MOHAMED RACHDI _ FRAGMENTS …

Fragments de la bibliothèque de Majnoun 
IMG_5581M.RACHDI. Fragments de la Bibliothèque de Majnoun 2016 
Exposition du 30 juin au 22 juillet 2016 |
Vernissage le jeudi 30 juin 2016 de 18h à 21h

Mohamed Rachdi explore l’importance de la mémoire et 
du désir dans l’activité créatrice.
Avec La Bibliothèque de Majnoun*, l’artiste développe un projet 
ouvert et dynamique, sans cesse créatif et interactif.

Un projet qui se déploie sous diverses formes et attitudes 
créatrices en constante mobilité entre territoires réels et 
virtuels, entre invitation aux expériences ludiques et 
échafaudage rigoureux d’actions stratégiques touchant aux 
niveaux poétiques autant que philosophiques, sociologiques 
que politiques. Continuer la lecture 

FATIMA MAZMOUZ |SUPER OUM

EXPOSITION PERSONNELLE | SOLO SHOW | 25 MAI au 25 JUIN 2016 
SUPER OUM Identités culturelles
Sans titre 2     Copyrights Fatima Mazmouz
L’exposition Super Oum, Identités Culturelles, pensée par Fatima Mazmouz, est avant tout une réflexion autour de l’identité nationale. Fatima Mazmouz symbolise à travers ses œuvres une quête identitaire sans précédant. Dans un élan salvateur, partant de l’intime, elle crée Super Oum, qui va broder des liens tacites avec l’espace du politique. En effet, à travers le corps de la grossesse, de la Mère, Super Oum dialogue avec le corps de la Mère patrie. Super Oum, personnage fictif créé à partir des Comics, est d’abord l’incarnation d’un combat intérieur, identitaire visant à accoucher de son identité que des années de confusions ont démantelée dans un rapport de culpabilité et de domination culturelle. Avec ce ventre exorbitant, Super Oum arbore fièrement les drapeaux du Monde, en Marianne universelle. Sur un ring, prête à se battre contre les jugements de valeurs, drapée de bandelettes de traditions et de cultures diverses, le visage couvert de gaze pour panser sans doute des années de préjugés. La production artistique de Fatima Mazmouz débute en 1998 comme un moyen d’interroger la notion d’identité dans toute sa complexité : le genre, le corps, l’immigration, et cetera, avec tout ce que cela implique de stéréotypes et de clichés. Fatima Mazmouz crée des passerelles entre l’intime et les problématiques d’ordres politico-socio-culturelles qui la traversent. La question du multiculturalisme entre autre devient l’axe principal de son travail où la réflexion sur le corps s’impose. Elle a exposé dans des lieux très divers entre autre à Rome, Madrid, Amsterdam, Anvers, Paris et le Caire, en participant notamment à de grandes manifestations culturelles comme en 2005 aux 6ème Rencontres Africaines de la photographie de Bamako, en 2006 au Festival Internationales de la Photographie de Arles, en 2009 à Paris-Photo au Carrousel du Louvre et en 2015 à l’Institut du Monde Arabe à Paris. Fatima Mazmouz est née en 1974 à Casablanca, au Maroc, elle vit et travaille entre La France et le Maroc.   Sans titre    ©Fatima Mazmouz, Mères patries, photographie, tirage numérique 2016, ed. 1/3, 61x91cm

 

 

Du point à la ligne #4 | DESSINS

Dessins contemporains  |  Exposition de groupe  |  Group Show
DU 28 AVRIL AU 21 MAI 2016
VERNISSAGE LE 18 AVRIL DE 18h à 21h
unnamedDALILA DALLEAS BOUZAR
THE BOOK, SERIE: HOOR'S DREAM, 2015,huile sur papier entoilé 25X25CM
Artistes: Dalila Dalléas Bouzar, Hanieh Delecroix, 
Sofia Hihat, Mounir Gouri, Hanieh Delecroix, Rieko Koga*, 
Eleanor Mitch, Luis Moragon, Golnaz Payani*, Sadek Rahim, 
Tajiouti Abdelkrim

L’essentiel des dessins présentés à la galerie sont réalisés par des 
artistes sélectionnés pour la pertinence du trait et leur message 
en filigrane. La maitrise et la rigueur du trait caractérisent ces 
œuvres qui donnent à voir l’infinie possibilité de création d’un 
médium initial. L’observateur suivra le trait, du point à la ligne, 
de recherche en recherche, de découverte en découverte, il s’aperçoit 
vite de la force du trait et du message en filigrane.  
Les supports sont divers et variés: tissus, calques, papiers, 
juxtaposés parfois superposés. La matière, ici et là, est tourmentée, 
arrachée, brulée par endroits (Tajiouti, Sadek Rahim), pour donner 
à voir le temps au travail. Aussi, ces dessins portent en eux une 
respiration, une étendue de liberté laissée par le vide (Sofia Hihat, 
Mounir Gouri, Hanieh Delecroix). 
Dans le processus de création, les artistes tracent le chemin 
d’une vision nouvelle, marque d’une rupture chez les uns ou 
renouveau chez les autres. Il ne s’agit pas là d’une simple 
exécution, mais un condensé d’expériences mnésiques, issu de 
la passion, de l’émotion éprouvée à chaque étape du processus, 
approuvée par la perception finale et la satisfaction. L’œil témoigne 
d’une gestation projetée par l’imagination.  Mb
Contact / Info Presse: Mamia Bretesche Gallery | 
Art Contemporain Cell +33(0)660870621 | galeriemamiabretesche@gmail.com

image-5Mounir Gouri, dessin sur papier, A4, 2012

Decalage_Horaire mbgallery_rieko


































RIEKO KOGA, Décalage horairefil sur tissu, 2012

GOLNAZ PAYANITout ce qui reste2 leg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Golnaz Payani

Tout ce qui reste, oxydation de cuivre sur papier 2015, 130X80cm

 

METAPHORA par BRUNO HADJIH

PHOTOGRAPHIES de BRUNO HADJIH
METAPHORA BD (4)
METAPHORA METAPHORA 01      Photos:Bruno Hadjih, courtesy gallery mamia bretesche

EXPOSITION du 14 novembre au 18 décembre 2015|
VERNISSAGE le samedi 14 nov à 18h
EXHIBITION 14th november until 18th december 2015
Opening reception 14nov at 6pm

BRUNO HADJIH est né en Kabylie en Algérie. Il vit et travaille 
entre Paris, le Gers et le Sahara.
Après des études de sociologie, il s'oriente vers la photographie 
documentaire, 
plasticienne. Ses travaux portent particulièrement sur la 
redéfinition des espaces décrits comme tangibles, espace mental, 
espace géographique. 
Sa photographie n'est pas une photographie de sublimation, 
elle est endogène. Réflexion ou regard neuf porté sur le monde 
méditerranéen, son histoire, sa culture et ses relations avec le 
reste du monde, le travail de Bruno Hadjih n’est pas une interrogation 
mais une prise de position, un engagement. Depuis 5 années, Bruno 
Hadjih travaille sur les espaces sahariens. 
Dans son traitement du sujet, il met en exergue le moment où 
les éléments naturels et les aventures humaines se concilient, 
l’instant où intervient l’ingéniosité de laquelle dépend la 
survie. Il porte un regard contemporain sur des espaces géographiques 
que l’on présente souvent comme archaïques (TERRA INCOGNITA) 
"Je choisis la photographie pour faire parler un désert vivant. 
Plus que tout autre médium, c’est elle qui a fait du désert un 
mausolée, un mythe vidé de toute substance.» Ce travail est exposé 
en 2011 lors de la Biennale de Bamako et tout récemment dans le cadre 
du Mois de la photographie de Denver(MOP DENVER 2015) Center Of  
Visual Art OF DENVER, COLORADO.

EXPOSITIONS (sélection) Les photographies de Bruno Hadjih ont 
fait l’objet de plusieurs expositions en Europe, en Amérique et 
en Afrique.
Expositions:
Institut du monde arabe PARIS. Mois de la photo du grand Paris 
avec la Galerie mamia bretesché Paris. Centro Andaluz De Arte 
Contemporaneo, Séville, Espagne.Musée D’art Moderne de Copenhague, 
Danemark. Centre D’art Contemporain La Centrale Electrique, Bruxelles
La Biennale De Bamako. Centre D’art Contemporain Cccb Barcelone
Museum Of The African Diaspora «Moad», San Francisco. 
Musée D’art Moderne D’Alger. Institut Français D’alger. 
Institut Français De Fez. Centre G.Pompidou Galerie Bpi. 
Palais De Tokyo, Paris. Bibliothèque Nationale de Paris.
Institut Du Monde Arabe Paris. Visa Pour L’image Perpignan
Center For Visual Art, Metropolitan State University Of Denver USA
ACQUISITIONS: DIVERS MUSEES, INSTITUTIONS ET PARTICULIERS:
METAPHORA  | EXPOSITION PERSONNELLE | SOLO SHOW
MAMIA BRETESCHE GALLERY   

"Pas plus qu’un poème ne s’adresse au lecteur, aucun tableau 
ne s’adresse au spectateur, et aucune symphonie ne s’adresse 
à l’auditoire". Comme le dit Walter Benjamin, une œuvre ne tient 
aucun discours, sinon celui qu’elle tient aux autres œuvres, et 
qui ne se déploie pas dans le domaine du langage. 
Celui de l’engagement.’’

- Des astres
Pas une photographie, mais deux. Dans chaque série, elles sont 
associées l'une avec l'autre. Deux photographies se répondent. 
Si chaque photographie prise pour elle-même aimante le regard par 
la sensibilité qui la singularise, leur mise en relation sidère 
la pensée. Tout se passe comme si les deux photographies constituaient 
ensemble des pôles attractifs desquels émergerait un champ magnétique. 
Des ondes circulent alors d'un axe à l'autre, qui font glisser une 
puissance géologique dans un visage et, dans une puissance épidermique, 
un paysage.
Aimantation : le regard est magnétisé par la lumière de ces formes 
de vie, organiques et inorganiques, minérales et animales, 
humaines et matérielles, qui semblent transpercer la nuit profonde 
d'où elles émergent. 
Sidération : la pensée est alors appelée à considérer des secousses 
sismiques qui, sans cette polarisation des images, seraient 
imperceptibles.
Bruno Hadjih est un magnétiseur qui fait œuvre de sismologue. 
Non seulement il est attentif à restituer la lumière astrale 
qui habite les êtres et les choses. Mais son attention est également 
soutenue par le souci de rendre manifeste le fond obscur–
comme une troisième image, subliminale et nucléique – d'où ces formes 
émergent, pour peut-être y retourner.

- Désastres
C'est alors que, telles des plaques tectoniques séparées par une ligne 
de faille, les photographies s'appréhendent sous une lumière inédite. 
En s'éloignant l'une de l'autre, elles creusent des gouffres sismiques 
tandis que, en se rapprochant, elles entrent en collision et provoquent 
un cataclysme.
Il faut voir la puissance astrale qui électrise la profondeur des 
images et restitue au regard comme à la pensée la nuit immémoriale 
d'un désastre fondateur ou d'une puissance originelle. Mais il 
faudrait aussi considérer la nuit appartenant à un désastre en cours 
en face duquel la tâche urgente d'une nouvelle cosmologie serait 
à l'ordre du jour.
Un désert croît, brûlant : moins celui du désert que celui de la 
désertification. Le photographe en fixe au présent les cristaux 
d'intensité photographiques, un œil tourné vers l'écho venu du plus 
lointain passé, un autre en direction des ondes arrivant d'un possible 
avenir.

D'un astre l'autre
L'extrême acuité du regard photographique confirme la persistance 
magnétique de la lumière fossile depuis sa séparation d'avec l'étoile 
originelle. 
Mais l'extrême sens visionnaire et sismologique du photographe perçoit 
aussi le nucléus de la catastrophe qui risque de venir, au terme de 
laquelle les formes de vie d'aujourd'hui pourraient être aspirées 
par la désertification. 
Il donne enfin et surtout à voir les lignes de fuite à suivre pour 
ne pas précipiter le séisme.
À équidistance d'un désastre natif et d'une possible catastrophe 
terminale, Bruno Hadjih n'a pas d'autre visée alors, s'il veut 
transfigurer la nuit profonde de notre présent aveugle, que celle 
de la lucidité consistant, comme le souligne Walter Benjamin, 
à «organiser le pessimisme».
 
Terra Incognita  
TERRA INCOGNITA (3)PHOTOS/ Bruno Hadjih, courtesy mamia bretesche gallery 2015, 80x80cm
ed 3/5

TERRA INCOGNITA (4)  Terra incognita: Copyrights Bruno Hadjih 2015, 80x80cm, ed.3/5
Bruno Hadjih est représenté par la galerie mamia bretesché
Pour tout achat : contacter la galerie TEl.0660870621
PROLONGATION DE L'EXPOSITION JUSQU'AU 20 JANVIER!
VERNISSAGE MAINTENU, CE SOIR, samedi 14 novembre!  
Nos portes et nos coeurs sont ouverts pour partager un moment avec vous!
NB: LES IMAGES SUR CE SITE SONT LA PROPRIETE COMPLETE ET INTEGRALE DES 
ARTISTES. LA COPIE, REPRODUCTION OU UTILISATION, QUELQUE QUELLE SOIT et 
ou SUR QUELQUE SUPPORT QUE CE SOIT SONT  STRICTEMENT INTERDITS.
TEl.0660870621

Hoor’s dream & Soleman|Dalila DALLEAS BOUZAR

Dalila bouzar-mamiabreteschegallery d-2015Copyrigths: Dalila Dalléas Bouzar- Soleman-2015- All rights reserved

DAL DAL3Copyrigths: Dalila Dalléas Bouzar- Série Hoor's Dream-25x25cm-2015
All rights reserved
Dalila Dalleas Bouzar est née à Oran en Algérie. 
Après des études de biologie à l’université Piere et Marie Curie à 
Paris, elle entame des études en Art à l’école des Beaux Arts de Paris 
et obtient son diplôme supérieur de cette école en 2003; un séjour 
à Berlin lui permet de montrer dans les galeries berlinoises et 
centres d’art, un travail dense au message fort, inspiré de ses 
origines algériennes et de l’exil: Körnelia - Goldrausch 2013, 
Galerie am Körnerpark, Berlin Art Week - Topographie des Terror, 
Listros Gallery - Nomadics-Settled, Kunstraum Kreuzberg Bethanien - 
Here and Now…Amnésia, Savvy contemporary - Berlin)
Elle fait partie des jeunes artistes exposés à des foires 
internationales (Art Karlsruhe Fair, Allemagne - 
Joburg Art Fair, Afrique du Sud ''No name fever'', 
Världskulturmuseet, Göteborg, Sweden).

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MARAIS DIGITAL #3 : VIDEO BEFORE / VIDEO AFTER

VERNISSAGE / jeudi 4 JUIN 2015 : 14 à 21h
OPENING / thursday 4th june at 2 pm until 9pm
VIDEO_VAN par WhiteBlackFungus
Videos portables et dans un Van! 

Pour l'édition 2015, la galerie présente 
le groupe d'artistes WhiteBlackFungus à intervenir près de la galerie 
avec leur "VideoVan". Il s'agit d'un van Volkswagen équipé d'un écran 
vidéo à l’intérieur.

L’événement Marais Digital #3 et le vernissage 
se dérouleront simultanément dans notre galerie, 
le van sera stationné en face, au niveau du 84 de la rue.
Le véhicule sera installé le jeudi 4 juin 2015 vers 14:00 
au plus tard, et enlevé à 22:00. 
Nous présenterons des vidéos d’art pour le public dans le van! 

 

 

 

FEMLINK – Video Collage

10 ANS DE COLLAGES-VIDEO!
139 artistes femmes, 63 pays, 250 VIDEOS 
4>11 AVRIL 2015 
VERNISSAGE 04 AVRIL de 16h à 22h
OPENING 04 APRIL > 4PM > 10PM

RUN, LARA, RUN by Larissa SANSOUR - Video Loop 

Copyrights of the artist, courtesy Femlink 
and mamia bretesche gallery

C'est en 2005 que la plasticienne Véronique Sapin 
a créé l'association Vadia afin de soutenir 
les projets et les artistes en artvidéo,
tel que le collectif FemLink qu'elle a co-fondé 
avec l'artiste américaine C. M. Judge,
139 artistes de 63 pays ont accepté de s'associer 
autour de la création d'oeuvres collectives appelées: 
les"collages-vidéos". 

 
FEMLINK
















©Nicoletta Stalder (Suisse) VIDEO-COLLAGE 

DOSSIER DE PRESSE SUR DEMANDE 
PRESS RELEASE/ ON DEMAND 
CONTACT / INFO PRESSE: MAMIA BRETESCHE GALLERY | ART CONTEMPORAIN 
TEL.Cell +33(0)660870621
WWW.MAMIABRETESCHEGALLERY.COM
mamia.bretesche@gmail.com
Sur Rendez-vous, Upon appointment 
 

 

Du point à la Ligne #3 – Dessins Contemporains

         
L1030666  Massinissa SELMANI 2014-Collection particulière
Mine de plomb sur papier   

image-5               Mounir Gouri: Dessin sur papier Canson 21×29,5 cm 

 

Du point à la Ligne #3 :  
Dessins contemporains | Exposition de groupe
Group Show  > 19 Mars > 31 Mars 2015
Vernissage, le 19 mars 2015 à 18h

L’essentiel des dessins présentés à la galerie sont réalisés par des 
artistes sélectionnés pour la pertinence du trait et le message en 
filigrane.La maitrise et la rigueur du trait caractérisent ces œuvres 
qui donnent à voir l’infinie possibilité de création d’un médium
initial. 
L’observateur suivra le trait, du point à la ligne, de recherche en 
recherche, de découverte en découverte, il s’aperçoit vite de la 
force du trait et du message en filigrane.
Les supports sont divers et variés: tissus, calques, papiers, 
juxtaposés parfois superposés. La matière, ici et là, est tourmentée, 
arrachée, brulée par endroits (Tajiouti), pour donner à voir le temps 
au travail.
Aussi, ces dessins portent en eux une respiration, une étendue de 
liberté laissée par le vide (Sofia Hihat, Massinissa Selmani, 
Alexandra Loewe …)
Dans le processus de création, les artistes tracent le chemin d’une 
vision nouvelle, marque d’une rupture chez les uns ou renouveau chez 
les autres (Bennacer Nacer).
Il ne s’agit pas là d’une simple exécution, mais d'un condensé 
d’expériences mnésiques, issu de la passion, de l’émotion éprouvée 
à chaque étape du processus, approuvée par la perception finale
et la satisfaction. L’œil témoigne d’une gestation projetée par 
l’imagination. Mamia Bretesché
 
 Artistes:
 Bennacer Nacer, Sofia Hihat, Alexandra Loewe, Massinissa Selmani, 
Tajiouti, Eleanor, Mitch, Mounir Gouri  
CONTACT / INFO PRESSE: MAMIA BRETESCHE GALLERY | ART CONTEMPORAIN 
Cell +33(0)660870621 77 rue Notre Dame de Nazareth 75003 Paris
WWW.MAMIABRETESCHEGALLERY.COM _ mamia.bretesche@gmail.com
DU MARDI AU SAMEDI DE 14h > 19h - 
FROM TUESDAY UNTIL SATURDAY - 2PM > 7PM 

L'adresse a depuis changé : Nous vous accueillerons au :
13 Rue Molière à Arles 
CREDITS: LES ARTISTES. COURTESY MAMIA BRETESCHE GALLERY

ARMS AND THE MEN – GROUP SHOW

Nasr-Eddine BENNACER  _  Abdelkrim TAJIOUTI  _  Massinissa SELMANI
 

©AbdelNacer Bennacer. The flying soldiers. 2015- Collection privée
EXPOSITION/EXHIBITION  > 05  > 28 / 02 / 2015

Cette exposition donne à voir la réaction de trois artistes 
contemporains face aux conflits et aux préoccupations actuelles.  
Sans détours et avec authenticité. Chacun maitrisant son médium 
de prédilection, ils expriment à leur façon, la volonté de 
dénoncer la folie des hommes, l'hypocrisie dans l'utilisation 
des armes et leurs effets dévastateurs, mais avec toujours en 
filigrane, la dérision, l'ironie qui caractérisent leurs oeuvres.

Nasr-Eddine Bennacer

Le travail de Nacer s'apparente à une réaction très sensible face 
à l'ego de l'homme et au conflit qui en résulte. 
Face à ce conflit, le plasticien se défend à sa manière. 
Un conflit qu’Anna Freud a tenté de démontrer dans Le Moi et 
les mécanismes de défense. Nacer donne à voir un conflit à 
dimension extensible. Il part de lui et se répand dans les 
relations humaines, il contamine la sphère intime et le monde.

tajiouti STINKY TOY
©Tajiouti Abdelkrim 2013, Stinky Toys
technique mixte sur papier marouflé sur toile.  

Abdelkrim Tajiouti
Le travail de Tajiouti stigmatise la folie de l’Homme moderne. 
Il exacerbe l’irresponsabilité des dirigeants ou la paranoïa 
généralisée dans des œuvres à dominante noire, blanche et 
sanguine. Comme dans "Stinky toys" qui dénonce nos guerres 
aux faux-semblants ludiques et virtuels. 

About TAJIOUTI'S WORKS by Julietta Di Bimarko
In the work of Abdelkrim Tajiouti, introducing 
spirituality into art is often referred to. 
This can be felt in Sweet, a spotless and deserted 
Mecca designed as a 42-kilo sugar lump model, as well 
as in the Crucified Muslims series which 
likewise emphasizes the artist's multicultural 
heritage while scratching the wound of post-colonial 
traumas. Instructions on how to fold a flag. 
Weapons made of soap. Disturbing wax Mickey Mouses. 
All these minimal installations treat issues such 
as the arms race, self-destruction or overconsumption 
in the modern world with a derisive and ironical eye. 
Another example is Zero Hero in which blood-red gums 
reveal the macabre grin of war victims. 
Nothing but mirrors which reflect «collateral damage» 
by multiplying the number of innocent civilians. 
Lying at the core of Tajiouti's concerns is also the 
position of the artist in a western society caught in 
a constantly changing world. Beside these concerns are 
themes long cherished - asylum, borders, loss of 
identity. These appear in the MRE project which 
pictures the myth of homecoming, a myth deeply rooted 
in the collective memory of immigrants, with an 
overloaded «home car », like a moving island. 
His graphic work follows the same logic. With black, 
white and red chalk as predominant colours, his 
pieces stigmatize the madness of modern man by 
pointing to the irresponsibility of world leaders 
or general paranoia. His little drawings, torn out 
of notebooks, soiled, taped, stuck back, add a strong 
emotional dimension to a decidedly dark and caustic 
world. 
Abdelkrim Tajiouti is an ever-changing artist, 
searching for the Universal aspect of things while 
scraping the global side of the coin. Accordingly, 
he states the impossibility of shrinking into one 
national identity and acts as a nomadic witness of 
a mutating world. 
With one single motto: Handle reality with bare hands.

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ABDELKRIM TAJIOUTI – LIBERTE, EGALITE, KEBAB

Abdelkrim TAJIOUTI

LIBERTE, EGALITE, KEBAB
>Exposition du 12 décembre 2014 au 15 janvier 2015 
>Vernissage le jeudi 11 décembre de 18h à 21h Tajiouti, liberte, egalite, kebab
Pour sa première exposition personnelle à la Galerie 
Mamia Bretesche,Abdelkrim Tajiouti reste fidèle à son leitmotiv: 
Ne jamais prendre de pincettes avec la réalité, mais toujours 
avec dérision. 
Le titre même de l’exposition LIBERTE, EGALITE, KEBAB en est 
l’illustration.

Né en France, d’une famille marocaine, il est le témoin d’un 
temps où se figer dans une identité nationale est 
quasi-impossible. 
C'est plutôt un nomade dans un monde mutant et en mutation.
Un voyageur à la recherche de l’universel quitte souvent à  
maltraiter le global.
Abdelkrim Tajiouti, saisi la réalité, la capte, la dissèque, 
la malmène. Entre autres préoccupations et questionnements : 
la terre d’accueil, les frontières, la perte d’identité. 
Son installation Petit mémorial post-colonial en est l’exemple.
Son travail stigmatise la folie de l’Homme moderne. 
Il exacerbe l’irresponsabilité des dirigeants ou la paranoïa 
généralisée dans des œuvres à dominante noire, blanche 
et sanguine. Comme dans Glamou rouge, une vanité d’aujourd’hui, 
égotique et connectée, ou Stinky toys qui dénonce nos guerres 
aux faux-semblants ludiques et vitrtuels.
Expositions individuelles :
2023: Dessins - Wanderings, Cities & Artists gallery, Arles 
2019: DESSINS - Marseille, Mamia Bretesché gallery
2015: Liberté, égalité, KEBBAB, Mamia Bretesché gallery
2015: Beirut Art Fair, Mamia Bretesche gallery 
2015: Singapore Art Fair, mamia bretesche gallery  
2014: Dessins. Du point à la ligne #2, MBretesche Gallery Paris 
2013: Du point à la ligne 1ère Edition, Mamia Bretesché Gallery  
2012: Galerie Quai 56 à Orléans, France. "Paranoïas et décadences"
2011: Galerie Anton Weller, Paris, France. "Dessins contemporains" 
2008: Galerie Nadar,Casablanca, Maroc. “ A Moroccan dream”.
2006: Galerie Hors Sol, Paris. "Du bo, du bon, du bonheur!" 
2003: Exposition galerie Come In, Paris, France.
2000: Galerie Mano Magica et MACO,Musée d’art contemporain de 
Oaxaca, Oaxaca, Mexique

Expositions de groupe :
2013: Group show, Group show, Mamia Bretesché Gallery
2012: Du Point à la Ligne, Dessins contemporains, MB Gallery 
2010: Fernelmont contemporary art, Belgique installation, video. 
Galerie Mamia Bretesché, Paris " De Lilith à Shehrazad ».
2008: Galerie School Galerie." Salon du dessin contemporain off" 
2005: Galerie Area, Paris « La Méditerranée ». image001Glamour rouge , céramique, miroir, casque, audio, lipstick, 2013

TAJIOUTI ABDELKRIM Tous droits réservés

TAJIOUTI ABDELKRIM , Ile  flottante . 
Tous droits réservés- Maquette pour sculpture géante!  galeriemamiaabretesche@gmail.com

 

 

 

 

 

SOFIA HIHAT | de – Génération

Sofia Hihat 

Exposition du 11 septembre au 11 octobre  2014 | Vernissage le 11 septembre de 18h à 21h

Dessins | Photographies | Peintures

jeune fille 2Sofia Hihat  – Jeune fille 1 – Photographie 2013 HIHAT Sofia,untitle,drawing,2014,MamiaBretescheGalleyweb,Sofia Hihat – Dessin 2014

Sofia HIHA,  dans cette nouvelle exposition sous le titre « De-Génération » aborde un thème lié au processus  de la création dans ses phases de naissance, expansion,  et dissolution. Elle suggère dans ses œuvres tout en délicatesse, l’organisation de ce processus dans sa mise en œuvre. Artiste du sensible, elle évoque plus qu’elle ne dit. D’un caractère dirigé vers l’intériorité, c’est sur le tamis de sa conscience que se produit cette séquence où ne subsiste que la trace ou l’évocation de son propos. D’une grande sensibilité, Sofia fait partie de la nouvelle scène émergente algérienne. Rescapée de la décennie noire, car c’est à cette période qu’elle vit son adolescence. Avec la distanciation et l’ingestion nécessaires au retour à la parole, elle ouvre enfin la porte pour «dire» avec une grande pudeur et retenue. Le passage par l’école supérieure des Beaux-Arts de Paris a servi de sas de décantation, et de reconstruction qui lui permet à présent d’en tirer une substance qui nourrit son travail.

Sensible à son environnement immédiat, c’est de là qu’elle démarre, pour entamer une œuvre ouverte sur les autres. Du centre vers l’extérieur, est la démarche, qui avance en cercles concentriques à mesure qu’elle ose parler de son histoire, des autres, et de l’état du monde. Dans cette exposition c’est une artiste qui entre dans la maturité, trouvant par touches subtiles, soit dans le dessin, la peinture, ou le miroir, son support de prédilection, l’empreinte que sa mémoire nous laisse entrevoir. Malek salah

Sofia Hihat est née en 1982 en Algérie. Elle est diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2011 et de l’Ecole des Beaux-Arts d’Alger en 2007. Elle vit et travaille entre Paris et Alger.  Ses œuvres ont été exposées au Salon International du dessin «Drawing Now» à Paris.

Exposition du 11 septembre au 11 octobre  2014 | Vernissage le 11 septembre de 18h à 21h

Mamia Bretesche galerie 77 rue notre Dame de Nazareth  75003 Paris | Tel .0660870621

By appointment  |  Sur Rendez-Vous 

THOMAS ZORITCHAK | You better …

Stars & stripes, 2008, collage

Stars & stripes, 2008, collage  T. Zoritchak

Thomas Zoritchak

You better watch your step cowboy !

Photographies, dessins, récit

Exposition du 12 Juin au 21 Juillet 2014 >Vernissage le 12 JUIN 2014 à 18h

La présente exposition commence par une question : que signifie ce titre ?A qui est adressée cette mise en garde ? L’ensemble des œuvres présentées au cours de cette exposition tentera de ne pas répondre directement à la question posée. Le climat de départ, créé par le titre, est voué à rester à l’état de gaz, dont les particules se mélangeront plus ou moins subtilement. Il y sera notamment question de conflit, d’ambition, reliées à différents types d’émotions. La phrase You better watch your step cowboy est prononcée à l’exact milieu d’un film de Wim Wenders sorti en 1977, Der Amerikanische Freund. Celui-ci se situe entre l’Allemagne, les États-Unis et la France. Il a déjà alimenté le travail d’artistes contemporains, notamment Pierre Huyghe (L’ellipse, 1998), mais ça, c’est une autre histoire.

Thomas Zoritchak est né à Annecy en 1970

Expositions (Sélection)

2013: Marais Digital, Galerie Mamia Bretesché, Paris

2011: 3ème Nuit Blanche, Centre Culturel Français, Oran, Algérie

N+1 projets, Galerie Aperto, Montpellier

Dix+4, Arthotèque-Bibliothèque de l’agglomération d’Annecy

2010: Hot summer, Galerie Toxic, Luxembourg

Vidéo appart, exposition en appartement, Paris – Dubaï

2009: Poor services 2, La Générale, Sèvres

2008: Hangul isang, Nabi Art Center, Séoul, Corée du Sud

2007: Body connections, Festival photo & vidéo, Tachkent, Ouzbékistan

Marais Digital # 2

PORTRAIT-VERO-w2

MARAIS DIGITAL # 2 / Plug n’art !
UN ART HYBRIDE, MUTANT, MULTIPLIABLE

VIDEO BEFORE / VIDEO AFTER

Initié par la galerie Mamia Bretesché, Marais digital, 
dans sa deuxième édition se veut un condensé des 
technologies au service de l’art vidéo et bien au-delà : 
Vidéos Projections, Digital Based Art, 
Vidéo Installations, Vidéo collages, animations 
pour UN ART Vidéo, HYBRIDE, MUTANT, MULTIPLIABLE 

> 12  >17 Juin 2014 >Vernissage
>Opening le 14 juin 2014

Marais Digital-Femlink-after the water-Aki NakazawaFemlink-after the water-Aki Nakazawa (Japon)
(photo de haut de page; Veronique Sapin, tous droits réservés)

FemLink/Collectif 
Protest > vidéo collage 
20 vidéos, 20 artistes femmes
FemLink a été fondé par deux artistes, l’une française 
(Véronique Sapin) et l’autre américaine (CM Judge). 
Leur désir était de construire des passerelles à travers 
le monde en créant des transversalités entre les femmes artistes, 
c’est-à-dire des possibilités de communication directe entre les 
oeuvres et les créatrices. Leur initiative fut donc de créer 
une sorte de « chaîne-vidéo » entre femmes artistes à travers 
le monde, autour d’un thème commun. Depuis octobre 2005, date du 
lancement de FemLink, 75 vidéo-plasticiennes de 60 pays, ont 
accepté de participer au vidéo-collage
Thomas Zoritchak


Je suis / Tu dois : deux dessins qui n'en font qu'un, 
ou plutôt se répondent, dialoguent, à leur manière. 
Dans chaque cas, le texte a été composé, le dessin griffonné 
sur un carnet, puis les deux ont été animés plus tard, 
séparément, par ordinateur. Variation sur l'idée 
de timing. Diptyque se jouant de la forme, au sens propre, 
du dessin animé. Celui-ci est réduit à son plus simple 
appareil - rythme binaire ou répétitif -, à la limite du primitif.

WhiteBlackFungus
Marais Digital-BLACJKWHITEFUNGUS-VIDEO_FRAMES 2014WhiteBlackFungus: Borne Video | Vidéo Nomade 

Vidéo performance : Exmotion, l'exposition-performance 

Exposition de 6 vidéos sur micro-écrans, portés par 
6 participants. 
Une exposition qui se visionne en s'approchant des porteurs 
d'écran, à retrouver dans la foule. 
Départ de la galerie Mamia Bretesché le 14 /06 à 16:00 
pour un tour dans les rues du Marais jusqu'au Carreau 
du Temple, en passant par la gaiété lyrique.

Groupe d'artistes:
Reinhard Hampel & Véronique Cartier-Hampel 
présenteront les vidéos portables pour voir l’œuvre autrement: 
de petits écrans de trois centimètres sur deux seront portés 
sur les vêtements, l’image se déplace avec la personne, 
une autre façon de présenter la vidéo. 
Oeuvres visuelles et audiovisuelles constituées à partir 
d'éléments figuratifs et abstraits, conçues comme des pièces 
de musique visuelles, la partie figurative tenant la place de 
la mélodie, la partie abstraite celle de l'orchestration. 
La recherche des endroits où interviennent les artistes et la 
réalisation des photographies sont une partie essentielle de 
leur travail.

(Marais Digital # 2: Initiated by Mamia Bretesché gallery ) 

& JOURNEES NOMADES MAIRIE DE PARIS 3 >13, 14, 15 juin 

LUIS MORAGON | FENETRES MODE D’EMPLOI

24 Hitchcock's house2009 acrylique sur toile 130x195cm
Fenêtres Mode D’emploi

Luis Moragon EXPOSITION >10  Avril  > 29 Mai 2014  |  
Vernissage > 10  Avril 2014 à 18h

EXHIBITION > April 10 >  May 29  |  
Opening  >  April 10th 2014 at 6 pm25.3 Le locataire 3 2010 200x160 cm acrylique sur toile































Après ses deux dernières expositions à la Galerie Mamia Brétesché, 
« Habiter » et « Desciudades », Luis Moragon poursuit sa réflexion 
sur la vie nocturne de la ville, son anonymat et ses intimités, 
dans une troisième exposition intitulée «Fenêtres mode d’emploi», 
référence évidente au livre de George Pérec. 
Des fenêtres dans tous leurs états : vues de nuit, allumées, 
sombres, à travers rideaux ou branches d’arbres, sur rue ou 
sur cour, comme chez Hitchcock, désertes ou avec locataire, comme 
chez Polanski – deux films qui, par leur rapport au voyeurisme, 
ont plus particulièrement inspiré l’artiste. Derrière la vitre, 
ou sous le store baissé, se dessinent des présences spectrales 
aux gestes immobiles, des rayonnages de bibliothèques, meubles 
ou plantes, dans les halos flous des lustres ou abat-jour – 
autant de signes fantomatiques de vies  entrevues à leur insu, 
qu’il s’agit de deviner ou d’imaginer. Les jeux de lumière 
et d’ombres projetées animent et estompent les trames 
géométriques des façades ; dans les rues les néons jouent 
sur les formes des passants. A travers transparences et 
obstacles s'organise une longue enfilade de regards, le 
spectateur du tableau devenant lui-même espion des guetteurs 
dont la présence plane en ces lieux « habités ».

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DU POINT A LA LIGNE #2

run in love, 27x27 cm, 2005©Tajiouti, "RU in love", 27x27 cm, 2005
Du point à la Ligne #2
Dessins contemporains | Exposition de groupe | Group Show
> 20 > 29 Mars 2014 | Vernissage, le 20 mars 2014 à 18h
L’essentiel des dessins présentés à la galerie sont inédits 
et réalisés par des artistes sélectionnés. La maitrise et la 
rigueur du trait caractérisent ces œuvres qui donnent à voir 
l’infinie possibilité de création d’un medium initial. 
L’observateur suivra le trait, du point 
à la ligne, de recherche en recherche, de découverte en 
découverte, il s’aperçoit vite de la force du trait et du 
message en filigrane. Les supports sont divers et variés: 
tissus, calques, papiers, juxtaposés parfois superposés. 
La matière, ici et là, est tourmentée, arrachée, brulée par 
endroits (Tajiouti), pour donner à voir le temps au travail 
(Anya Tikhomirova).
Aussi, ces dessins portent en eux une respiration, une 
étendue de liberté laissée par le vide (Sofia Hihat, 
Massinissa Selmani, Alexandra Loewe)

Dans le processus de création, les artistes tracent le 
chemin d’une vision nouvelle, marque d’une rupture chez 
les uns ou renouveau chez les autres (Bennacer Nacer). 
Il ne s’agit pas là d’une simple exécution, mais un condensé 
d’expériences mnésiques, issu de la passion, de l’émotion 
éprouvée à chaque étape du processus, approuvée par la 
perception finale 
et la satisfaction. L’œil témoigne d’une gestation projetée 
par l’imagination.

Artistes:
Benacer Nacer, Sofia Hihat, Alexandra Loewe, 
Massinissa Selmani, Tajiouti, 
Anya Tikhomirova, Sadek Rahim.


Capture d’écran 2014-02-28 à 16.20.43Sofia Hihat

 

SILENT SYNCHRONY

 Exposition personnelle de Samta Benyahia. Photos: Tous droits réservés, propriété de l’artiste.   ©Samta Benyahia & Adagp

EXPOSITION TEMPORAIRE 

Jeudi 23 Janvier au samedi 8 Mars  2014


 © Samta Benyahia & Adagp

© Samta Benyahia: Le polygone étoilé, vitrail, émail bleu sur verre thermoformé, 90x90x0,6cm, Paris 2003-2014.

PHOTOGRAPHIES & INSTALLATION  |  PHOTOGRAPHS & INSTALLATION 

>Jeudi 23 Janvier au samedi 8 Mars  2014  |  Vernissage le jeudi 23 Janvier 2014

>Thursday, January 23rd   >  Saturday, March 8th 2014 | Opening 

Le polygone étoilé est caractéristique du style de Samta Benyahia, il est le signe capteur d’un bruit de fond, venu d’une civilisation et d’un art arabo-musulman gardés sous silence.

Samta Benyahia soumet ce polygone à des formes contemporaines et en fait un langage artistique original, signe distinctif de son travail et c’est dans la profusion des étoiles et leur multiplication dans l’espace que le travail de Samta Benyahia prend toute sa forme et son ampleur.

Le vide, ici et maintenant, est comblé par la répétition du motif, en témoignent, les  rosaces brodées de paillettes et de perles de rocaille sur tulle, tout comme « Le polygone étoilé », vitrail, dont la rosace en émail sur verre thermoformé s’illumine de la couleur bleue, couleur itérative chez Samta Benyahia.

Son style est inégalable et les œuvres, de facture épurée, sont résolument contemporaines.  Présentée à la biennale de Venise en 2003, elle a ouvert la voie à une multitude de jeunes artistes. MB  

 

Biographie:

Née à Constantine en Algérie, Samta Benyahia vit et travaille à Paris. Après l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, elle obtient un DEA en arts plastiques à l’Université Paris VIII et enseigne à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts d’Alger jusqu’en 1988. Le travail de Samta Benyahia a été montré à la Biennale de Venise en 2003. Elle creé La chambre bleue à l’hôtel Windsor de Nice (commande pérenne). Ses œuvres ont été exposées au Musée d’art Moderne de Paris en 2000/2001. En 2006, elle participe  à l’événement Parisien «La Force de l’Art» au Grand Palais.

 © Samta Benyahia & Adagp

Samta BENYAHIA ‘’La Vie en Paillettes’’, Musée d’Art Roger Quillot – Clermont Ferrand 2003 – photo de Jean-Christophe Sergère.

Expositions individuelles (sélection):

2014: Mamia BRETESCHE Gallery Paris. 2013: Le drap, Galerie Martine et Thibault de la Châtre. 2010: La Chambre Bleue, Hôtel Windsor, Nice ( commande pérenne). 2008 :  A la lumière des matins (Albert camus), Galerie Martine et Thibault de la Châtre. 2007: Architecture of the Veil, UCLA, Fowler Museum of Cultural History, LA- USA. 2003: La Vie en Paillettes, Musée d’Art Roger Quillot, Clermont Ferrand. Made in Africa,  IniVA, Londres.  2002: Que mon conte soit beau et se déroule comme un long fil, Rez d’Art Contemporain. 1995: Algérie au Coeur, Institut du Monde Arabe, Paris. 1989: Centre Genevois de la Gravure Contemporaine, Genève, Suisse (résidence)

 

Exposition collectives (séléction):

2011: ‘’Dress Code project’’, Art Sawa gallery in Contemporary Art Platform à Dubaï, Space gallery au Koweit. 2007: ‘’Mahrem’’, Santralistanbul,Turquie. 2008: ‘’Mahrem’’ Kunsthalle Wien. 2006: ‘’Laboratoire pour un avenir incertain’’ La force de l’Art au Grand Palais, Paris, ‘’Fever variations’’ Biennale de Gwangju en Corée du Sud, 5th International Ink of Painting of Shenzhen en Chine. 2005: ‘’About Beauty’’ Haus Der Kulturen Der Welt à Berlin. 2003: 5ème Rencontres de la Photographie Contemporaine Africaine, Biennale de Bamako, Mali, ‘’Fault Lines, dreams and Conflits’’ 50ème Biennale de Venise, ‘’Constantine de mon Enfance’’ Espace EDF Electra, Paris, ‘’Les New Scheherazades’’ CCCB, Barcelone, ‘’Le XXème Siècle dans l’Art Algérien’’ Château Borely, Marseille et à l’Orangerie du Sénat, Paris. 2000: ‘’Racines’’ Le Magasin et le Musée Dauphinois, Grenoble, France. 2000/2001: ‘’Paris pour Escale’’ Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. 1998: “Cultes intimes” 29ème Rencontres Internationales de la photographie, Arles. 1986 et 1994: Biennale de la Havane, Cuba. 1992: ‘’Force Sight’’ galerie Brigitte March, Stuttgart. 1988: Musée National des Beaux-Arts d’Alger.

La traversée des moucharabiehs et autres jalousies… Par Ramon Tio Bellido

«… Depuis quelques années, Samta Benyahia a délibérément introduit un élément particulier qui fonctionne de façon récurrente, qui vient s’imposer comme un objet très identifié dont les déclinaisons se constituent comme des réponses aux interrogations qu’il génère, à la manière d’un index adaptable aux circonstances de sa présentation… Elle se sert des outils d’expression artistique qui sont, par essence, étrangers au contexte référentiel choisi, tout en le ciblant explicitement. Autrement dit, c’est davantage à une connexion a priori antinomique qu’à un métissage  qu’elle s’adonne, en exposant les probabilités fonctionnelles de telles réunions, souvent considérées contre-nature.

Grâce aux outils technologiques d’abord, puisqu’elle utilise la photographie ou la sérigraphie, C’est-à-dire nombre de procédés de reproduction qui lui servent pour intervenir dans l’espace où se situent ses installations, pour occuper ces lieux de visibilité par des recouvrements d’images qui y instituent des seuils, des écrans pénétrables qu’il nous faut à la fois regarder et traverser mentalement … » Ramon Tio Bellido


ENGLISH

Biographie:

Born in Constantine (Algeria) Samta Benyahia graduated from the ENSAD ‘’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris », from the University of Paris VIII Vincennes-St-Denis and the School of Fine Arts of Algiers where she taught until 1988. Samta Benyahia has exhibited among others at the Fowler Museum in Los Angeles in 2007, at Santralistanbul (Turkey). She has participated in various international events such as the 50th Venice Biennial in 2003, “La Force de l’Art” in 2006 (Paris, Grand Palais) and at the Institut du Monde Arabe in Paris.

 […] In SAMTA BENYAHIA‘s work the memory of Arab architecture and the abstract motifs of Islamic art come together in a work that unbinds the arts by offering them the spaciousness of installation, the beauty of decorative art, and a nourishing reflection on history. If Samta Benyahia is certainly an Algerian artist working in Paris, her art’s discourse on roots transcends cultural and geographic borders. The collision of cultures produces a unique world. The work engages in dialogue, neither denying nor remaining limited by Arab identity. This bridge between Constantine and Paris speaks instead of the world’s diversity, opening up myriad ways to the Other. Before anything else, Samta is an artist-traveler, a nomad who explores continents in her thirst to know others […]  Emmanuelle Amiot-Saulnier – Extract – Translated by Valérie Behiery
http://islamicartsmagazine.com/magazine/view/silent_synchrony/

KATIA KAMELI – THIRD SPACE

Exposition personnelle des oeuvres de Katia Kameli.

k-kameli-Fridaybisweb                                             « Friday », 60×80 cm, c-print, 2010, ed 1/3.

PHOTOGRAPHIE & VIDEOS | PHOTOGRAPHY & VIDEOS

EXPOSITION  > 14 novembre > 14 décembre 2013  | Vernissage > 14 nov 18h

EXHIBITION > 14th nov  > 14th dec 2013  > Opening 14th 6 pm 

 Nous avons le plaisir de mettre les murs de la galerie Mamia Bretesché à la disposition de Katia Kameli qui présente une série de photographies ainsi qu’une vidéo ‘’The Storyteller’’.  

Ses séjours dans de nombreux pays ne pouvaient qu’influencer une démarche artistique indissociable de son identité plurielle. Protéiforme, son travail exprime l’entre-deux, l’intermédiaire, où le signe d’appartenance est rejeté au profit de la multiplicité.

Son positionnement est donc celui de l’hybridité, le « tiers-espace » qui rend possible l’émergence d’autres visions de positions et de formes. Ce tiers-espace dérange les histoires qui le constituent, il les place en état critique, et permet donc une réécriture des allers retours entre « l’Histoire » et les « narrations ». Les formes hétérogènes qu’elle manipule, vidéo, photographie, installation, dessin, participent aussi à ce déplacement.

Katia Kameli fixe le moment et l’espace sans mise en scène préalable. Il en découle des œuvres dépouillées, où flotte un air de no man’s land. Ce sont justement ces endroits désertés qui l’intéressent, ce quelque chose de la présence de l’homme, qui paradoxalement  est souvent absent de ses photographies.

kATIA kAMELI-Mbgallery-                   « Vernacular Architecture », 90×66 cm, C-print contrecollé sur alu, 2012,ed 1/3.

The Storyteller est une vidéo de 12mn présentée lors de la biennale 2012 de Marrakech au Maroc. A propos de cette vidéo Katia Kameli précise ‘ La Halqa, ou cercle de spectateurs, est une tradition ancestrale marocaine de la narration et de l’interprétation. J’ai choisi de travailler avec Abderahim Al Azalia, un conteur particulier, il interprète à sa manière des films de Bollywood. Pour « The Storyteller », il intervient dans le théâtre Royal de Marrakech, dans la salle d’un opéra inachevé. Il y interprète « Dosti » de Sayten Bose, un classique du genre en noir et blanc. La boucle est bouclée lorsqu’ Al Azalia nous raconte comment Ramu et Mohan, les deux protagonistes de « Dosti » échappent à leur condition. En effet, alors qu’ils jouent de la musique un cercle se forme autour d’eux. L’installation est montrée à l’intérieure de l’Opéra en question, il y a donc plusieurs mises en abymes dans cette proposition.  Propos de Katia Kameli, recueillis par le magazine Dyptic 2012.

Katia Kameli est née en 1973, elle vit et travaille à Paris. Après des études à Vienne dans l’atelier de Pistoletto, elle est diplômée de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Bourges et du post-diplôme des Beaux- Arts de Marseille.

K-KAMELI-mbreteschegallery-The Third_Space_2012

                           « Third space », 90x66cm, C-print contrecollé sur alu, 2012, ed: 1/3.

 

ENGLISH

Mamia Bretesche is pleased to announce Katia Kameli’s exhibition. THIRD SPACE

A selection of photographs and a video ‘The Storyteller’ will be displayed in the gallery.

Katia Kameli is a french-algerian artist based in Paris. After studying in Vienna with Pistoletto, she graduated from the Ecole Nationale des Beaux-Arts in Bourges and received a postgraduate degree in New Media in 2003 from the Ecole Supérieure des Beaux-Arts in Marseille. 

Kameli’s work is closely linked to her personal experience of dual identities, exploring multiplicity and the ‘in-between’. Through video, photography, installation and drawing, she investigates intercultural spaces, intersecting identities and their construction. Thus she positions herself as a hybrid, using a ‘third space’ to enables the emergence of other visions, forms and positions. This ‘third space’ questions historical accounts and can generate a critical stance that allows the rewriting of history and narratives.

In 2006 and 20011, Kameli directed and produced ‘Bledi in Progress’ and‘Trans- Maghreb’ video platforms for young filmmakers from Algeria, Marroco and Tunisia in Algiers.

In 2007-08, she was the winner of the program Paris-New York, CulturesFrance and participated in a residency at Location One, NY. Her work has found an audience and gained recognition on the national and international artistic and cinematographic scene such as: Centre Georges Pompidou (2008), French Cinematheque (2007), Manifesta 8 (2010), Center for Contemporary Art in Tel Aviv (2008), Galerie Anne Villepoix (2008), Paris, Rotunda Gallery, New York (2008), Seville Biennale (2008), Cornerhouse, Manshester (2011), Bamako Encounters (2011), Marrakech Biennale (2012), Dakar Biennale (2012), Museum of Contemporary Art of Marseille (2013).

ABOUT THE STORYTELLER : Researching on Al –Halqa, a public gathering in the form of a circle around a performer in a public space. I discovered Abderahim El Maqori – called « Al Azalia » – a respected storytelleller on the Djama el Fna square in Morocco. He began storytelling when he was young, he was trained by one of the grand masters of Morroco Al Hussein. My interest in his performances became stronger discovering his speciality was storytelling films.

Invited by Nadim Samman and Carson Chan, curators of the Marrakech Biennial [4], to produce a new contextual work, it seems clear to me I had to meet and work with Al Azalia. Arriving in Marrakech we had a first meeting in one of the coffee shop of the square. He is showing me his archive, photographs of him younger, performing alone or with some others storytellers. Then, he explained, his strong relationship with the Eden cinema, located few meters from the square and where he got most of his inspirations. He used to go to the movie theater and back to the square story tell the film for people that couldn’t afford the ticket. Doing my research, I’ve been reading his speciality was Peplum movies; I thought it was strange, as we don’t have a strong culture for Peplum in Maghreb. Al- Azalia had a laugh and corrected: Lala, Rani En’Chouff wa Nahki garr li Film Hindi – No, I’m looking and storytelling Bollywood movies.

Du mardi au samedi de 14h à 19h | Tuesday to saturday from 2 pm until 7 pm  

66 rue Notre DAME de NAZARETH 75003 PARIS  | +33(0)142715094  Cell +33(0)660870621

METRO (s) REPUBLIQUE, STRASBOURG ST DENIS, TEMPLE  OU ARTS ET METIERS

K-KAMELI-MBRETESCHEGALLERY-The Growing_Blocks_2012                 « The Growing Block », 2012. C-print contrecollé sur alu  90×66 cm, ed 1/3.

YAMOU l DISPLACED PARADISE

DISPLAYED PARADISE

Exposition personnelle de Yamou.                                                                

_vertitude_ -#2A30web                                         « Vertitude 2 »,100 x 81 cm, Huile sur toile, 2013 .

 

PEINTURES | PAINTINGS

EXPOSITION > 12 SEPT >12 OCT 2013

EXHIBITION > 12th nov  > 12th dec 2013 

‘’…J’ai vu tout, fleurs, sources, sillons se pâmer sous son œil… ‘’ Et les mots de Baudelaire deviennent formes par la grâce du geste de Yamou, qui nous offre, lors de cette exposition, une peinture forte et puissante dont le mystère d’exécution reste intact.

Une distillation picturale du temps recherché et retrouvé. Nous sommes en 2013 de notre ère, et des millénaires nous séparent des premières peintures de l’homme. Yamou poursuit cette aventure, elle jaillit en une explosion de formes et de couleurs. L’évolution de l’homme artiste est sous nos yeux, palpable.

Beaucoup de temps a passé depuis les grandes toiles apaisantes aux couleurs chaudes : Ben’Msik, 1989, Epi de blé, 1995. Yamou nous donne à voir ici et maintenant un monde issu de sa propre imagination. Toute ressemblance avec la nature ou la représentation de celle-ci reste fortuite et pourtant…. La métamorphose s’est opérée dans une collision de couleurs et de matières. On devine les éléments en effervescence obéissant à une dynamique chaotique, en apparence seulement, car la maitrise de la composition appartient à Yamou. Il intervient en maître sur la toile et provoque la réaction, gère le chaos : des échanges de couleurs et de pigments s’effectuent, s’embrasent et s’embrassent, s’auto-organisent, se colonisent en amas de points ou en aplats de couleur pour finir en poussières interstellaires, graines de folie, folie d’artistes chez Miro, formes givrées et fractals poétiques chez Yamou : Les artistes, 2013

Yamou cultive ses couleurs, elles se déploient, se propagent du plus profond au plus lumineux, laissant entrevoir, parfois, une spectaculaire transparence, perspective d’un paradis sur une toile.

Le spectateur est face à de grands formats de toiles dont la trame piège les matières qui s’organisent de manière faussement aléatoire. Aucun doute, c’est par le geste de l’artiste que se produit ce qui se trame sur la toile. Ciel pur ou tourmenté, océans disparus, explosions fulgurantes, profondeurs et soulèvements, affleurements et cristallisations. La déroute, est complète, le résultat fascinant. Les toiles nous parlent d’un paradis retrouvé, forêts, marais, végétaux : Germoir, 2012 où foisonnent des formes frisées, frémissantes, tremblantes sous la rosée de la nuit des temps : Nuit 1, 2013

A regarder de plus près, les pistils et les graines en suspension, s’éclatent et se dispersent en une multitude de gouttelettes dans le fracas et la dilatation d’un premier monde, d’un temps nouveau :  La nouvelle, 2013.

L’artiste nous invite à voir la variété et la violence des interactions d’un medium, qu’il soumet à sa volonté, entre l’infiniment petit et les ramifications géantes du tout début du monde, un monde fait d’agrégats, de matières gourmandes et de couleurs chaudes qui s’interrogent dans un rapport inattendu, laissant à la lumière le pouvoir de déterminer la puissance, la valeur de chacune et l’effet émotionnel qu’elles produisent sur nous.

La migration formelle des colonies de micro-organismes en expansion, se fait en vert et en paradis chez Yamou : Vertitude, 2013, chemin entrepris par l’artiste depuis quelques temps déjà et l’enchantement est toujours là.

Parfois des rubans sinueux de couleurs traversent les toiles en des trajets mystérieux, la communication s’établit entre tous les éléments de la toile en un message secret, lointain… Les fluides, 2013.

De quelle origine est la peinture de Yamou?  Elle provient de son imaginaire et autres signatures biologiques, elle lui vient d’un monde intérieur, son paradis.

Mamia Bretesché

 

Les artistesweb« Les artistes », 55x 46 cm, Huile sur toile, 2013 .

 

Biographie:

Yamou est né en 1959 à Casablanca, au Maroc. Après des études de Biologie en France, il fréquente musées et galeries et son intérêt pour la peinture devient plus fort. Depuis, son parcours est jalonné d’expositions de grande importance dans les institutions et galeries. Plusieurs de ses œuvres font partie de grandes collections en France et dans le monde.

Il vit et travaille entre Casablanca et Paris.

 

 

MASSINISSA SELMANI | L’ALLURE DES CHOSES

L’ALLURE DES CHOSES

Une exposition personnelle des oeuvres de Massinissa Selmani

EXPOSITION > 13 Juin > 25 Juillet 2013

Vernissage le 13 Juin à partir de 18h 

DESSINS, PHOTOGRAPHIES, VIDEO INSTALLATION | DRAWINGS, PHOTOGRAPHY, VIDEO BASED ART
Capture d’écran 2014-03-28 à 16.37.01©Massinissa Selmani "Le plongeoir" C-Print sur papier, 57x37cm, 2012, Ed.1/5+2 EA. 
Collection galerie mamia bretesché

« Relevés du dehors », cette série de dessins réalisés en graphite sur papier recyclé est une série de mises en scène à partir de coupures de presse. Elle recrée des situations étranges ou qui ont très peu de chances de se produire. Pour ce travail, Massinissa s’inspire de la photographie surréaliste, notamment du travail de Paul Nougé et sa série la subversion des images.

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EXPOSITIONS/EXHIBITIONS 2003-2008

Exhibitions at Galerie Mamia Bretesché 2003/2008

1/16 Nov > 8 Dec 2007 - Brooke White > Climats 
prospecting




























Prospecting, Video & Digital print, copyrights rooke White 
  Geneviève Biwer >15 Juin > 30 Juin 2006

Geneviève Biwer Eislek- Luxembourg1
Geneviève Biwer , Eislek- Luxembourg1
5 Jul > 25 Jul 2007 Group Show > Veronique Sedro, Tajiouti > Lilith ou Shehrazade? 

>25 May > 25 Jun 2007 - Micro Festival  Vidéo & Digital based-art  with Luke Lamborn, 

Alice Schÿler Mallet, Surekha, Brooke White


> 1 Mars > 31 Mars 2007 Luis Moragón > Desciudades

Pour sa deuxième exposition à la galerie Mamia Bretesché, Luis Moragon poursuit 
son exploration des « Desciudades », commencée lors de l'exposition de l'artiste 
au musée d'art contemporain de Elche, en Espagne, en mai 2006. Ainsi il continue 
à développer une réflexion sur le thème « habiter », travail entamé il y a déjà 
plusieurs années. « Des-ciudades » vaut par son préfixe privatif, comme réflexion 
critique, déconstruction, démythification de la cité idéale. 

K24028B005619luis 2
Fev > 28 Fev 2007 John Foley > Lieux Mémoire de la Grande Guerre 
Quand la terre se souvient.Cette exposition est constituée de photographies en noir 
et blanc et couleur représentant les vestiges qu'a laissés la guerre de 14-18 dans les 
paysages de l'ancien front, de la Mer du Nord à l'Alsace.
Le cataclysme de la Grande Guerre fut l'événement tragiquement fondateur de l'ensemble 
du XXème siècle.


1 Dec > 31 Dec 2006 Jae-Kyoo Chong > l'événement photographique 

























According to Jae-Kyoo CHONG photography is the possibility of operating a fractal 
vision of the reality. Jae-Kyoo's processus of making photography gives us the 
possibility to look at reality in definitely different ways by a set of division,
a sort of deconstructing the visible.
Among the alive Korean artists in France, Chong Jae-Kyoo is one of the most 
important.The rigour of its method and the inventiveness in his photographics 
are an evidence. 

Saul Zanolari > New new portraits > 16 Sep > 7 Oct 2006


Saul Zanolari > New new portraits  
Saul Zanolari atteint une esthétique proche de l'être humain, mais dont l'accentuation 
de détails et de couleurs remet en cause la tradition du portrait photographique.
D'origine Suisse, l'artiste Saul Zanolari explore à travers la photographie les limites 
de l'esthétique de la beauté humaine en s'appropriant l'image de personnages réels connus,
tels Simon le Bon ou Miss Kittin, ou tout simplement ceux de son entourage familial


15 Jun > 30 Jun 2006 - Geneviève Biwer > Solo Exhibition 

















La galerie Mamia Bretesché présente du 15 au 30 juin 2006 les oeuvres 
photographiques récentes de Geneviève Biwer. L'artiste luxembourgeoise 
nous donne à voir des photographies de 112 x 75 cm dépourvues d'encadrement 
et contrecollées sur aluminium. Les oeuvres de Geneviève Biwer dialoguent 
ainsi avec les miroirs pixels de Bruno Girard.


> 11 mai 2006 - International New Art in Paris Now 
>Zoulikha Bouabdellah, Luke Lamborn,Surekha  KUMAR




















Luke Lamborn, Collection particulière, video loop
Mamia Bretesché, directrice de la galerie éponyme, rend hommage à tous les 
artistes avec lesquels elle a partagé des moments intenses durant les 5 années 
écoulées, et vous invite à découvrir le résultat de leur recherche. Il va de soi 
que l'art ne peut être un fardeau et notre plus grand désir est que vous partagiez 
la joie et l'enthousiasme que nous ressentons en allant à la rencontre de tous ces 
talents, si divers mais unis dans la volonté de traduire, en langage perceptible 
les préoccupations d'une société en pleine mutation.


4 Avril> 29 Avril 2006 – Luca Curci > Time Inside


La Galerie Mamia Bretesché is proud to present videos artworks and stills by
Luca CURCI and Fabiana ROSCIOLI
Luca Curci and Fabiana Roscioli are fascinated by the architecture of the inner life,
marked by fluidity, transparence and fuzzy. The architecture of thoughts. 
The architecture of meanings. The architecture of the Lost Paradise identity. 
They reminds us that the frontiers between artistic and non-artistic mediums are no 
longer available.


> 22 Fev > 24 Mars 2006 - Laurie Tennent > Bouquets et Hautes Technologies  























L'Américaine Laurie Tennent nous donne à voir 15 photographies réalisées à partir d'un 
scanner, ainsi elle n'utilise pas d'appareil photo, mais c'est en chercheur, qu'elle 
exploite les moyens technologiques de numérisation actuels, qu'elle soumet à sa volonté 
par une technique très sophistiquée. Le résultat est stupéfiant et spectaculaire. 
La rupture est totale avec la photographie classique. Cependant l'ambiguité subsiste 
à plusieurs degrés.


> 18 Jan > 12 Feb 2006 - Laila Khlif > XING 
K28772B005601leila





















15 Nov > 15 Dec 2005 - Laurence Bagot >Renault, L'île Séguin: Perspectives

K27633B005588laurence 
> 15 Sep > 30 Sep 2005 - Tatiana Cruz > Video based art- Tatiana Indira Cruz
 
K25621B005627tatiana

 


 


 


 


 


 





Video & performing still, MISS 2007 Tatiana Indira Cruz  


 
> 20 Jul > 14 Sep 2005 - Louise Merzeau, Sébastien Montabonel, Luis Moragón 

Summer Summary Faux et Usage de Faux - Conscience et photographies 

 


 28 Avril > 15 Mai 2005 - Louise Merzeau > In God they trust 

In God They Trust























5 Mars > 10 Avril 2005 - Luis Moragón > Habiter 

T51578 LUIS





















3 Fev > 3 Mars 2005 - Sébastien Montabonel > Short Story
 
K23823B005609sebastien























15 Nov > 13 Dec 2003 - Alberto Brusamolino > Celle del Dormitorio 

CREDITS PHOTOS: LES ARTISTES, TOUS DROITS RESERVES

Telephone : +33(0)660870621